Dans l’une
de ses nouvelles intitulée « Une
Farce réussie »[1], Italo Svevo imagine un écrivain
vieillissant (nul mieux que Svevo, peut-être, n’a fait de la vieillesse son sujet), Mario Samigli, auteur d’un
unique roman déjà ancien qui, bien qu’il ait été publié, n’a eu aucun succès,
ni critique ni public.
Mario se met alors à écrire des
fables à partir d’une expérience simple : donner du pain aux oiseaux ;
elles deviennent une variation sur l’amertume de l’échec, « … la déception qui suit toute œuvre humaine ».
suite
La Splendeur des Tenenbaum
La Déception comme art du comble(ment)
La Photographie n'est pas la peinture
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