Pourtant les salles de cinéma, les montagnes, les
sentiers, l’herbe et le buis, les bêtes foreuses innommées, le renversement du
noir et du blanc, la marche et l’arrêt, le basculement de l’immobilité dans la
marche, le soulignement noir de l’avancée et l’ouverture des paysages en pleine
lumière, les ressemblances et les différenciations, l’extinction du souvenir et
le maintien à distance de son image détachée, les approximations répétées et
reprises et les précisions inutiles en elles-mêmes et n’ayant de sens que dans
leur accompagnement nuancé, la
musique, la logique et la poésie, l’accoutumance et la terreur, atténuées et
atroces, construisent la cible.
suite
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début
La Photographie n'est pas la peinture
Il manque un morceau vert...
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